L’heure où le soleil devient noir est une archive sans ancrage, un récit d’images mouvantes où le temps, le lieu et l’origine se dérobent. Les photographies dialoguent, se déconstruisent les unes dans les autres, et ouvrent un espace sensible où le banal touche au sublime et l’absence devient matière. Portes, fenêtres, lits : autant de seuils traversés par des présences floues, esquissées, qui laissent place au silence, au désir, à la solitude.
L’heure où le soleil devient noir est une archive sans ancrage, un récit d’images mouvantes où le temps, le lieu et l’origine se dérobent. Les photographies dialoguent, se déconstruisent les unes dans les autres, et ouvrent un espace sensible où le banal touche au sublime et l’absence devient matière. Portes, fenêtres, lits : autant de seuils traversés par des présences floues, esquissées, qui laissent place au silence, au désir, à la solitude.